L'histoire commence en 1893, par l'arrivé de sœur Marianne a Richelieu, qui venait de l'orphelinat de saint Antoine a Chinon et qui dépendait de l'ordre des Franciscains don la communauté mère qui était a Pérou (dans le département de l'Orme). Elle vient assisté un certain Monsieur L' Huiller un notable malade de la ville.
Deux ans plus tard il décède et lègue a la congrégation de Sœur Marianne son grand domicile "Le 21 Grand rue" a condition que la congrégation s'occupe d 'orphelin et de Personnes âgée; La réalisation des premier travaux, un réfectoire et des chambres... réalisé grâces a des dont donnée par des notable de Richelieu. Le lieu accueille de nombreux malade, surtout des personnes Agée a qui Sœur Marianne et les Trois religieuses qui l'on rejointes dispensent des soins. En 1893 est crée et inauguré l'orphelinat saint Antoine a Richelieu, qui accueille ses premiers orphelin et quelque personnes âgée dont madame L'huiller la femme du donateur. Son activité ce développe alors. Quand Sœur Marianne meurt en 1929 , elle aura soutenu de nombreux orphelins et dénombré 374 d'entre eux qui aurons passé leurs certificats d'étude. L'accueil était une mission, mais l'éducation était alors le vecteur principal de sa mise en œuvre . Avec L'arrivée de Sœur Tarsisude. Nommée dans la ville "la bonne mère" tant elle a une figure de bonté a Richelieu, L'activité de l'orphelinat ce développe, puis l'agrandissement de l'orphelinat se réalise des l'achat du " 19 grande rue" . En 1939 on comptait 80 enfants dans l'orphelinat , parallèlement la congrégation rachète un bien immobiliers "rue de la galère" pour fondé la maison de retraite, ainsi qu'une cour toujours" rue la galère" pour élevé des porc pour nourrir la communauté . Les religieuses allait chercher les légumes dans les fermes , une d'entre elle se feras écrasé d'ailleurs par un char l'or d'une collecte . Des travaux important son réalisé en 1948 pour modernisé l'institution, création des salles de jeux, Bibliothèque , etc..... L 'établissement toujours appelé saint Antoine , assume son exigence envers l'éducation et l'enseignement et déploie sous ses efforts dans ce sens pour que l'institution ne soit pas qu'un orphelinat mais un lieu de vie complet pour formé les adulte de demain.
Le Couvent Mère Des Soeurs Franciscaines de Perrou
Perrou est un petit territoir de 422 hectares. Il n'existe que depuis une centaine d'année. Il dépendait auparavant de la commune de Lucé bien que les deux villages soit séparé de 4 Klms. En 1886 une loi division créa officièlement la commune de Perou. L'origine du village est néanmoins très ancienne : Une trentaines de hâche de bonzes y furent decouverte, prouvant que ce lieu était déjà habité durant l'antiquité . Le nom "Perou" provient de ses roches pierreuses et son ruisseau ( Per... pierres rou... ruisseau). Perou était le lieu d'un pèlerinage dont l'origine ce perd dans le temps. Il est probable que ce soit st Front, apôtre de jesus christ qui évengélisa la région et deposa une vierge de bois dans une antique chappelle ( environs a la place de l'église actuelle. La premiere trace existante de ce pèlerinage date de 1048 . Les Pèlerins venaient pour prier la vierge de Pérou ? Réputé miraculeuse. Il se pourssuivit jusqua la seconde guerre Mondiale . En 1868 Le Curé Lemoine et Soeur Marie Elisabeth superieur d'une Communautée de Franciscaine fondèrent un Monastère. Au fil du temps, les soeurs mettent en place diverses structures d'accueils et de soins pour les enfants malades. Elles développèrent leurs activitée jusu'a la seconde guerre mondiale, ou elles accueillent des réfugiés. Après la guerre près d'une centaines de soeurs accueillèrent jusqu'a 600 résidents. L'orphelina ferma en 1972. Les dernières Soeurs ont quittés Perrou En 2012.
La création des Fioretti
Dans la ville de Richelieu 21 grande rue, décembre 1961 sont créent les Fiorreti, ce nom d'origine florale qu'on retrouve chez "Saint François d'assise" est censé représenté l' ordre des Franciscains. Une nouvelle activité se met en place progréssivement. Avec une place active des quelques religieuses qui restent encore dans les lieux. La structure qui n'accueillait auparavant que des garçons, va alors décider de réserver son accueil aux seules filles, l'accueil des garçons sera réservé à l'institut de Saint Antoine de Chinon. La mixité n'est pas encore dans les projets à cette époque. l'institut disposera alors de soixante places pour des filles de 6 a 14 ans regroupées sur cinq sections de douze. L'arrivée de professionels se réalise progressivement avec l'embauche d'une comptable, puis d'une première éducatrice.... Ces premiers emplois sont vite complétés par l'arrivée d'un medecin puis par la mise à disposition d'enseignants par l'education nationale. Une seule religieuse enseignante sera rémunéré par l'education nationale. Sept religieuses présentes était toujour bénévoles "La Bonne Mère" quittera Richelieu après y avoir passé 45 ans, elle a alors 75 ans et est contrainte et forcée par son odre à retourner dans l'Orme où elle y mourra quelque mois plus tard. Elle sera remplacé par soeur Marie-Brigitte qui ne restera que très peut de temps. Le passage de la laïcité se réalisera avec le recrutement du premier directeur en 1972, ce qui annonce la fin de l'implication des religieuses en 1975.
Le Déménagement
De 1983 à 1986, la reconstruction de l'Institut se réalise sur un nouveau site, le bois de l’Ajonc. Dans la foulée, en 1989, en parallèle avec l'arrivée des nouvelles annexes et services pour enfants et adolescents handicapés, l'IMP devient un institut de rééducation (IR) avec une introduction progressive de la mixité. L'accueil concerne désormais des adolescents, filles et garçons, âgées de 12 à 20 ans. L’acquisition d'une usine de confection désaffectée, située à proximité immédiate, permet d'envisager une extension de l'activité. Avec l'arrivée d’un nouveau directeur au début des années 2000, commence un vaste programme d’amélioration des conditions d’hébergement. Une extension des locaux d'internat et une reconversion en groupe de vie, des espaces administratifs et de soins sont engagées à compter de 2001 grâce au transfert d'activités dans le bâtiment réhabilité de l'ancienne usine.
Dans le même temps et parallèlement à sa mission, mais en articulation directe avec elle, l'Institut se saisit d'un projet de coopérations humanitaires et de solidarités éducatives avec un village du Burkina Faso.
Le projet d’établissement est entièrement revu à compter de 2004 avec une forte implication des équipes. Et c’est poursuivit jusqu’en 2008.